myclimate se réjouit autant qu’ADES de cette reconnaissance du long travail collectif fourni à Madagascar. D’autant plus que myclimate et ADES ont récemment décidé d’étendre leur longue collaboration couronnée de succès. Au début du partenariat en 2018, ADES était l’une des premières organisations partenaires de myclimate. Depuis, les deux organisations ont fortement évolué et posent maintenant les jalons pour une protection du climat durable à Madagascar. Dans le cadre de cette coopération, leur but est d’éviter 2,7 millions de tonnes d’émissions de CO2 jusqu’en 2028.
Non seulement ce projet de protection du climat réduit, grâce à la construction de fours solaires et à économie d’énergie à Madagascar, les émissions nocives de CO2, mais il apporte également de nombreux effets positifs, supplémentaires comme plus de 200 emplois et des projets de formation et de reboisement à la population de l’une des régions les plus pauvres du monde.
«Le long partenariat d’ADES et myclimate est un exemple pour la protection du climat durable avec un scénario gagnant-gagnant pour les Hommes et la nature. ADES s’engage sur place pendant que nous acquérons des partenaires pour la protection du climat et aidons ADES à calculer et prouver l’efficacité de ses projets conformément aux directives du Gold Standard», dit le CEO de myclimate, Stephen Neff.
Jusqu’à ce jour, nous avons réussi à compenser 2 435 000 de tonnes de CO2 dans le cadre du partenariat. De plus, nous avons planté environ 550 000 arbres depuis 2008. Plus de 80 000 écoliers ont pu profiter de diverses mesures de formation grâce au projet commun.
«Les recettes issues des compensations volontaires de CO2 des entreprises et des particuliers sont particulièrement importantes pour nous car elles nous permettent de subventionner les fours à économie d’énergie de manière à ce que la population pauvre de Madagascar aussi ait accès à des méthodes de cuisson plus efficaces. Chaque four permet de réduire de moitié les besoins en bois ou en charbon, ce qui contribue à préserver les précieuses ressources naturelles sur place», ajoute Herbert Blaser, le président d’ADES.